Le bruit de la liberté

Posted on: novembre 1st, 2020 by admin

En partant à la recherche des lieux réels ou imaginaires de la vie et de l’œuvre de Pascal Quignard, l’auteur se lance dans un voyage aventureux et chaotique, parfois picaresque autant qu’introspectif (la solitude, même dans l’altérité). Avec, en chemin – peut-être – l’apprentissage ou la découverte d’une forme de liberté ou de libération.

Courir à l’aube

Posted on: octobre 25th, 2016 by admin

Entre fantasme et réalité, ce roman reprend les thèmes qui traversent l’œuvre de Frédérique Germanaud : la solitude, la difficulté à rester debout, l’écriture. D’une densité surprenante, Courir à l’Aube impressionne par sa force et sa puissance évocatrice. Après La Chambre d’écho paru à l’Escampette en 2012, pour laquelle elle a été reçue par Alain Veinstein sur France Culture, Frédérique Germanaud a livré en 2014 à la Clé à molette deux textes courts et singuliers : Quatre-vingt-dix motifs, fragments mêlant d’une façon indiscernable fiction et biographie, et Vianet. La lettre, longue nouvelle intimiste. Les deux textes, bien que totalement autonomes, se répondent d’une façon remarquable et ont reçu un accueil critique très favorable. Avec Courir à l’aube, Frédérique Germanaud poursuit sa collaboration avec la Clé à molette.

Suzanne et l’influence

Posted on: octobre 25th, 2016 by admin

Suzanne sous influence, écrivain sous influence, contrainte et jeu d’écriture : Suzanne et l’influence, est un projet librement inspiré du film de Cassavetes Une Femme sous influence. On trouve dans ce poème de roman ou roman poème beaucoup d’énergie et aussi de cette énergie surnuméraire nommée violence, avec des personnages qui sont libres, peut-être, ou en tout cas peu déterminés par les débris du concept de classe, et qui se faufilent dans les interstices de la géographie urbaine.
Succédant à l’Ombre s’allonge (Actes Sud, 2015) de Jean-Paul Goux, Suzanne et l’influence de Frédérique Cosnier a reçu le Prix Marcel Aymé 2017, décerné par l’ALAC – Association du livre et des auteurs comtois. 

Les terminaisons nerveuses

Posted on: juin 26th, 2016 by admin

Le narrateur réinterroge son enfance avec stupéfaction, dans un récit au regard brûlant comme l’acide porté sur la condition humaine, ce bloc molassique recouvert de dépôts glaciaires.

La route inconnue

Posted on: septembre 16th, 2015 by admin

Avec ce roman, André Dhôtel propose un véritable space opera des champs, des hameaux et des collines, dont le véhicule « interespace » est la bicyclette. Sous les yeux du héros Valentin se déploie une fresque initiatique où la recherche de pistes inconnues, les poursuites nocturnes dans les châteaux vides, la chasse aux trésors cachés, constituent l’essence même d’une liberté adolescente à conquérir et à préserver.

Vianet. La lettre

Posted on: septembre 10th, 2014 by admin

Une lettre arrive ; un voyage est nécessaire. Commence alors pour la narratrice un road trip introspectif et intime, au cours duquel les images du passé et plus certainement celle de l’homme qui fut jadis son compagnon achèveront, peut-être, de disparaître.

Quatre-vingt-dix motifs

Posted on: septembre 10th, 2014 by admin

Quatre-vingt-dix motifs : trente séries de trois paragraphes en filiation, se faisant progressivement écho, et développant, le temps d’une saison écrasée de chaleur, un récit de femme, contemplatif, sensuel et discrètement féroce.

Un soir…

Posted on: septembre 10th, 2014 by admin

On a tout dit sur Dhôtel ; sa modernité absente, sa merveilleuse particularité au sein de la littérature française et la lumineuse simplicité de son écriture.

S’il reste ici l’écrivain de l’enchantement et des lisières que l’on connaît, ces onze récits permettent de (re)découvrir un Dhôtel nouvelliste hors pair, sans concession, instruit des choses de la vie, explorateur de l’âme et souvent aussi âpre qu’inattendu.

En inscrivant ses personnages aux marges de la société, en créant une géographie en constante voie d’effacement, se jouant du hasard pour son plaisir et le nôtre, Dhôtel échappe instinctivement à son temps et, les années passant, prouve à chaque lecture qu’il a atteint une forme d’universalité romantique.