Raphaël Galley est né le 23 octobre 1976 à Dijon ; plasticien, il vit et travaille à Dijon.
Enseignant « Design, volume et installation » en classe préparatoire à l’École d’art Gérard Jacot – Belfort, depuis 2007.
2001 Diplôme National d’Arts et Techniques (Félicitations du jury) – École Nationale Supérieure des Arts – Dijon
Plasticien, né en 1972, vit et travaille à Mulhouse.
Josette Coras (1926-2008), dessinatrice, plasticienne, graveuse et sculptrice, animatrice de la vie artistique jurassienne, a habité pendant cinquante ans le logis abbatial de l’Abbaye de Baume-les-Messieurs, arpentant la reculée et les paysages environnants, sources d’inspiration et de réflexion.
Photo de Josette Coras par Claudine Kindt, réalisée lors de la préparation du livre de 2008 : Josette Coras, quelques années à Baume, regards croisés.
Jean Clerc, professeur d’art plastique, né en 1963, vit et travaille à Dijon.
Jacques Moulin, né en Normandie des hautes falaises, vit à Besançon. Il coanime les rencontres Les Poètes du jeudi dans le cadre de l’Université Ouverte de Franche-Comté.
Jacques Monnin, peintre, photographe, designer graphique, né en 1959, vit et travaille à Belfort.
Guillaume Michaut est revenu vivre à Besançon, sa ville natale, après de nombreuses années d’errance.
Frédérique Germanaud vit et travaille à Angers. Marcheuse, cinéphile et lectrice invétérée, elle écrit à l’étage de sa maison, face à une fenêtre qui ouvre sur un petit jardin en désordre et clos de murs d’ardoise. Juste après « Vianet,. La lettre » longue nouvelle intimiste, et « Quatre-vingt-dix motifs », qui mêle d’une façon indiscernable fiction et biographie, « Courir à l’aube » est son troisième ouvrage à La clé à molette.
Née en 1974, Frédérique Cosnier est agrégée de Lettres et diplômée en Didactique du Français Langue Étrangère. Elle publie dans différentes revues et un premier recueil de poèmes, « PP Poèmes Précis », paraît en 2008. Collaborant avec des photographes et des musiciens, elle travaille à la croisée des genres et des arts, en adaptant ses propres textes, ou ceux d’autres auteurs, dans des lectures publiques. Certaines créations ont donné lieu à des traductions. « Suzanne et l’influence » est son premier roman publié, libre échappée poétique inspirée du film Une Femme sous influence de John Cassavetes.
Pour Suzanne et l’influence, Frédérique Cosnier à reçu le Prix Marcel Aymé 2017, décerné par l’ALAC – Association du livre et des auteurs comtois.
Au cours de ses études d’histoire, Fabien Dorier s’est intéressé de très près au passé sochalien. Tout en œuvrant au sein de la cellule communication du FC Sochaux-Montbéliard à partir de 2000, il a conservé le même intérêt pour le riche passé du club. Il s’agit de son quatrième ouvrage ayant pour sujet l’histoire du FCSM.
Éric Duboys, né en 1971, vit dans l’Ain, près de Lyon. « Les terminaisons nerveuses » est son premier roman. Auparavant, il a publié trois livres encyclopédiques sur la musique industrielle : Throbbing Gristle – Industrial music for industrial people, 2007, Industrial Musics Vol.1, 2009, Industrial Musics Vol.2, 2012 (Camion Blanc éditeur).
Mark Webster, Jean-Michel Géridan, Yannick Mathey, Fernand Dutilleux, Jean-Noël Lafargue, Aurélien Michon /NORMALS, Caroline Kassimo-Zahnd/n-graphes, Julien Gachadoat, Louis Eveillard
Cloé Paty, artiste plasticienne, née en 1983, diplômée de l’ENSAD Strasbourg.
Pierre Lohou, architecte, né en 1985, diplômé de l’INSA Strasbourg.
André Dhôtel (1900-1991) : professeur de philosophie, romancier et poète, ami de Jean Paulhan, il est l’auteur de nombreux ouvrages dont « Le pays où l’on n’arrive jamais », prix Fémina 1955 . Il reçoit en 1974 le Grand prix de littérature de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre.
André Beucler (Saint-Pétersbourg, 1898 – Nice, 1985) est un écrivain aux mille facettes et cent métiers. Blessé en 1917, résistant en 1939, il est presque impossible de résumer une vie trépidante, dont la richesse d’amis, de voyages, de rencontres, nous semble aujourd’hui sidérante. Dès 1925, il fait une entrée fracassante en littérature avec la Ville anonyme (L’Imaginaire, Gallimard). S’ensuivront plus de quarante-deux volumes (romans, essais, portraits, souvenirs) dont Gueule d’Amour en 1926, resté célèbre pour être incarné au cinéma par Jean Gabin, et Vallée du Doubs présenté ici.
Alexandre Rolla est historien et critique d’art, poète, essayiste et commissaire d’expositions. Il enseigne à l’École Supérieure d’Arts et Médias de Caen/Cherbourg et à l’Université de Franche-Comté à Besançon. Son travail traite des relations qui se tissent entre les différentes formes d’écriture (poétique, littéraire, théorique ou plastique), à travers l’exploration des notions de paysage et de pays, de temps local et global.