Le Football Club Sochaux-Montbéliard en 90 dates

Posted on: juillet 9th, 2018 by admin

Peut-être saviez-vous que le club sochalien a remporté tous ses matchs de championnat dès sa première saison ? Qu’il a battu les équipes de Belgique et des Pays-Bas quelques mois après sa création ? Que Trello Abegglen, son entraîneur-joueur suisse, a inscrit sept buts lors d’un seul match ? Connaissez-vous les exploits de Lucien Laurent, Laurent Di Lorto ou Étienne Mattler avec l’équipe de France ? Savez-vous pourquoi le Stade Bonal s’appelle ainsi ? Vous souvenez-vous que le FCSM s’est vu refuser un but victorieux en finale de Coupe de France à la dernière seconde, sous les yeux du Général de Gaulle ? Que la carrière du meilleur buteur de la Coupe du Monde a été stoppée à Bonal ? Que le FC Sochaux-Montbéliard a atteint une demi-finale européenne avec une majorité de joueurs formés au club ? Avez-vous déjà entendu parler du succès sochalien au Camp Nou ou que Benoît Pedretti jouait en Division d’Honneur quelques années seulement avant d’être appelé en équipe de France ? Vous souvenez-vous des exploits européens face à des clubs allemands et des éliminations (sans perdre !) contre des équipes italiennes ?

En revenant sur ces événements souvent épiques, parfois dramatiques et quelquefois plus légers ou décalés, ce livre illustré de nombreux documents et photographies plonge au cœur de l’histoire du club d’une façon passionnante et passionnée.

Objets dérivés

Posted on: décembre 3rd, 2012 by admin

Relevant autant du conceptuel que du ludique, de la rigueur intellectuelle que de l’amusement enfantin, l’œuvre de Raphaël Galley marque par sa simplicité et son efficacité. Elle s’adresse aux autres. Et voilà sans doute une règle inscrite au cœur de sa démarche : Raphaël produit une œuvre qui « ne se regarde pas le nombril ».

Ainsi, ce qui marque plus encore que les travaux proposés, ce sont les qualités humaines et le profond respect qu’il a de l’Autre, quel qu’il soit. Ce souci d’un plasticien qui n’est pas cloisonné dans son univers mais qui pourtant possède le sien propre, cette volonté de ne pas être à l’image parfois stéréotypée de l’Artiste tout en étant profondément engagé dans cette vie-là, cette empathie dans les mots et les regards qui masquent l’intransigeance et la rigueur, voilà sans doute ce qui fait la pertinence comme l’impertinence de Raphaël Galley.

Maxime Bourgeaux